Autrice, compositrice, chanteuse et guitariste qui se produit à travers l’Europe, en solo ou avec son groupe. Ses chansons fortes d’émotions et sa présence scénique captivante parviennent toujours à tenir le public.

Influencée par des artistes comme Lauryn Hill, Radiohead, Björk, ainsi que des sonorités comme le reggae, Mary May mêle sans efforts ces riches influences avec ses racines congolaises, afin de créer un univers unique dans lequel elle y raconte son histoire.

Poétique et puissant, transcendé par la voix veloutée aux accents cristallins de l’artiste, l’EP se veut un pont entre les influences de musiques actuelles et classique, et les musiques traditionnelles aimées du Congo de ses origines.

La compositrice Mary May ambitionne ici de rendre hommage à son ascendance africaine, à une culture dont la transmission orale a suscité « sa curiosité, sa créativité ainsi que cette quête d’authenticité qui l’ont toujours animée », quête impérieuse qu’elle ressent comme antidote à l’individualisme grandissant de nos sociétés.

Un EP puisant aux sources vives de son histoire personnelle. Scénarisé en clips autour de paysages somptueux, il se déploie à la manière d’un conte contemporain universel autour des éléments naturels : l’introduction LA QUINTESSENCE se réfère au cinquième, substance éthérée liant toutes choses, THAT THING à l’eau, NA PESI YO à la terre, LAST WISH au vent, NO MORE LAMENTATION au feu.

Ainsi, THAT THING, inspiré par une histoire d’amour avec un homme violent, met-il en scène la renaissance magnifiée d’une femme, de la noyade intérieure à la souveraineté conquise incarnée par une danse sur la terre ferme : seule sur une plage éclaboussée de soleil, l’artiste y apparait comme la reine d’un nouveau monde.